Les perles de l'Asie centrale

Départ d’Europe à destination de Tashkent. Arrivée à Tashkent le plus souvent dans la nuit du jour 1 au jour 2. Accueil à l'aéroport par notre équipe locale et transfert vers notre hébergement. L’après-midi est consacrée à la découverte de la capitale des Ouzbèkes, une ville moderne de plus de 2,5 millions d’habitants. Même si c’est maintenant une ville moderne, Tashkent possède un certain charme avec ses vastes avenues, héritage de la période soviétique, et ses parcs. Nous découvrons notamment la place Tchor Su et la medersa Koukeldash (16ème siècle), le mausolée de Kaffal Chachi, la medersa de Barakhan (XVIème siècle) ainsi que le musée des Arts appliqués, l‘ancien palais du diplomate russe Polovtsev.

Dans la matinée, transfert à la gare et embarquement pour Samarcande.

Samarcande, ville inséparable de l'histoire de la "route de la Soie", qui fut la capitale de Tamerlan. Elle est le symbole semi-mythique de l'Asie centrale pour nombre de personnes à travers le monde. Située à la frange du désert du Kyzil Koum, Samarcande est une immense oasis aux multiples facettes et aux riches monuments.

Samarcande est l'une des villes les plus anciennes et l'un des plus vieux centres culturels du monde. Avec une histoire vieille de XXV siècles, Samarcande est une ville de légendes qui fut le centre de la Sogdiane. Elle survécut aux multiples invasions, d'Alexandre le Grand, qui s'enthousiasmait déjà sur sa beauté, des Arabes, en passant par les Mongols. Timour le Grand en fit sa capitale, qu'il voulait capitale du monde.

Ces deux jours sont consacrés à la découverte de la ville de Samarcande avec notamment la très belle place du Reguistan, la plus belle place d’Asie centrale est souvent considérée comme étant plus belle que le Taj Mahal. Elle est entourée de trois medersa imposantes : la medersa d’Ouloug Beg (XVème siècle), la medersa de Cher Dor et celle de Tillya Kori (XVIIème siècle).

Nous poursuivons avec la nécropole de Chakhi-Zinda composée de plus de 11 mausolées datant des XI-XIXème siècles, dont celui de Kussam-ibn Abbas, cousin du prophète Mahomet. Puis, nous rejoignons le mausolée Gour Emir (XVème siècle) abritant les tombeaux de Tamerlan et de ses descendants, orgueil de Samarcande avec sa superbe coupole côtelée bleu turquoise. On dit souvent que "Si le ciel disparaît, la coupole de Gour Emir le remplacera". Puis nous nous émerveillons devant l’imposante mosquée Bibi Khanoum (XVème siècle). C'est en 1399, au retour de sa campagne en Inde que Tamerlan décida de construire cette mosquée, connue aujourd'hui sous le nom de sa femme, Bibi Khanoum. Nous terminons la journée avec le grand Bazar (marché local), un des sites les plus animés de la ville.

Au cours de ces deux jours, nous découvrons également dans un village proche de Samarcande, une fabrique de papier de soie selon des techniques traditionnelles et médiévales.

Dans la matinée, transfert à la gare et embarquement pour Boukhara. 
Ces deux journées sont consacrées à la découverte de Boukhara, "la noble", "la ville la plus intéressante du monde" selon l'historien Curzon. Ville sainte d’Asie centrale, elle compte plus de 360 mosquées, dont les couleurs des dômes bleu/vert se détachant sur le bleu du ciel sont absolument splendides. Le nom de Boukhara serait une déformation du mot "vihara" qui signifie "monastère" en sanscrit.

Nous découvrons notamment l’ensemble de Poi Kalon datant des XIIème et XVème siècles qui est composé d’un minaret surnommé "minaret de la mort", de la mosquée, dont la beauté lui épargna la destruction par les troupes de Gengis Khan au XIIIème siècle, ainsi que la medersa de Miri Arab, la plus grande école coranique de toute l'Asie centrale. Cette dernière est un exemple exquis de l’architecture en brique.

Nous poursuivons notre exploration des beautés de Boukhara avec la medersa d’Ouloug Beg (XVème siècle) construite par le prince astronome de Samarcande lui-même, la forteresse Ark (citadelle) résidence d’hiver des émirs de Boukhara entre le Vème et XIXème siècle.

Puis nous nous rendons à l’ensemble Bolo Khaouz qui se compose d’une mosquée (XVIIIème siècle), d’un minaret (1914 - 17) et d’un bassin, puis du mausolée des Samanides (IXème siècle) surnommé "la perle de l'Orient" qui fut construit par Ismail Samani pour son père Akhmad. Ce tombeau dynastique est le plus ancien mausolée musulman d'Asie centrale. Nous terminons notre journée au mausolée de Tchachma Ayoub (la source de Job) datant des XIVème et XVIIème siècles. La source, réputée pour ses vertus curatives, est censée guérir les maladies de peau.

En chemin nous découvrons également le marché couvert du XVIème siècle avec notamment l’atelier de broderie en or près des coupoles marchandes, celui de fabrication d’articles en cuivre et en argent, du forgeron, et de tissage près de Tim Abdoullah Khan. Nous découvrons enfin Tchor Minor (les quatre minarets), et dans les environs de Boukhara Sitora-i-Mokhi Khossa, le palais d’été des émirs de Boukhara, ainsi que la nécropole en mémoire de Tchor Bakr, les quatre descendants du prophète.

Nous terminons notre journée par un cours culinaire dans la famille ouzbèke d’un des plus célèbres miniaturistes de Boukhara pour apprendre la préparation du Plov, le plat national ouzbek. Le Plov est véritablement le roi des plats ouzbeks. D’ailleurs les Ouzbeks disent souvent « si tu as une journée à vivre, mange du Plov ».

Ces deux journées sont consacrées à la découverte de Boukhara, "la noble", "la ville la plus intéressante du monde" selon l'historien Curzon. Ville sainte d’Asie centrale, elle compte plus de 360 mosquées, dont les couleurs des dômes bleu/vert se détachant sur le bleu du ciel sont absolument splendides. Le nom de Boukhara serait une déformation du mot "vihara" qui signifie "monastère" en sanscrit.

Nous découvrons notamment l’ensemble de Poi Kalon datant des XIIème et XVème siècles qui est composé d’un minaret surnommé "minaret de la mort", de la mosquée, dont la beauté lui épargna la destruction par les troupes de Gengis Khan au XIIIème siècle, ainsi que la medersa de Miri Arab, la plus grande école coranique de toute l'Asie centrale. Cette dernière est un exemple exquis de l’architecture en brique.

Nous poursuivons notre exploration des beautés de Boukhara avec la medersa d’Ouloug Beg (XVème siècle) construite par le prince astronome de Samarcande lui-même, la forteresse Ark (citadelle) résidence d’hiver des émirs de Boukhara entre le Vème et XIXème siècle.

Puis nous nous rendons à l’ensemble Bolo Khaouz qui se compose d’une mosquée (XVIIIème siècle), d’un minaret (1914 - 17) et d’un bassin, puis du mausolée des Samanides (IXème siècle) surnommé "la perle de l'Orient" qui fut construit par Ismail Samani pour son père Akhmad. Ce tombeau dynastique est le plus ancien mausolée musulman d'Asie centrale. Nous terminons notre journée au mausolée de Tchachma Ayoub (la source de Job) datant des XIVème et XVIIème siècles. La source, réputée pour ses vertus curatives, est censée guérir les maladies de peau.

En chemin nous découvrons également le marché couvert du XVIème siècle avec notamment l’atelier de broderie en or près des coupoles marchandes, celui de fabrication d’articles en cuivre et en argent, du forgeron, et de tissage près de Tim Abdoullah Khan. Nous découvrons enfin Tchor Minor (les quatre minarets), et dans les environs de Boukhara Sitora-i-Mokhi Khossa, le palais d’été des émirs de Boukhara, ainsi que la nécropole en mémoire de Tchor Bakr, les quatre descendants du prophète.

Nous terminons notre journée par un cours culinaire dans la famille ouzbèke d’un des plus célèbres miniaturistes de Boukhara pour apprendre la préparation du Plov, le plat national ouzbek. Le Plov est véritablement le roi des plats ouzbeks. D’ailleurs les Ouzbeks disent souvent « si tu as une journée à vivre, mange du Plov ».

Tôt dans la matinée, nous passons la frontière avec le Turkménistan pour rejoindre la ville de Mary. L'ancienne Merv est le centre historique le plus important du Turkménistan. Fondée sous le nom de Erk-Kala au VIème siècle avant Jésus-Christ par des Zoroastriens persans, la ville sera ensuite prise par Alexandre le Grand qui lui donnera le nom de Margiana au IIIème siècle avant J.-C. Les Turcs seldjoukides en feront leur capitale sous le nom de Merv aux XIème et XIIème siècles. Sous l'influence des Seldjoukides, la ville connaîtra son épanouissement entre le XIème et le XIIème siècle. Ce n'est qu'en 1937 que les soviétiques lui donneront le nom de Mary. Aujourd’hui, de la vieille forteresse de Merv, la "perle de l'Orient", il ne reste que l'enceinte fortifiée et plusieurs ouvrages d'architecture dispersés sur plusieurs hectares, dont le mausolée du sultan Sandjar, datant du XIIème siècle, et véritable chef-d'œuvre qui prend la forme d'un cube, haut de 38 m, et couronné d'une coupole en plein centre, avec des murs percés de profondes arcades ogivales. Il s’agit du plus grand mausolée d’Asie centrale. Certains disent qu'il a été fondé par le prophète perse Zoroastre ; pour d'autres, c'est ici que Schéhérazade égrena les contes des « Mille et Une Nuits ».

Tôt dans la matinée, nous passons la frontière avec le Turkménistan pour rejoindre la ville de Mary. L'ancienne Merv est le centre historique le plus important du Turkménistan. Fondée sous le nom de Erk-Kala au VIème siècle avant Jésus-Christ par des Zoroastriens persans, la ville sera ensuite prise par Alexandre le Grand qui lui donnera le nom de Margiana au IIIème siècle avant J.-C. Les Turcs seldjoukides en feront leur capitale sous le nom de Merv aux XIème et XIIème siècles. Sous l'influence des Seldjoukides, la ville connaîtra son épanouissement entre le XIème et le XIIème siècle. Ce n'est qu'en 1937 que les soviétiques lui donneront le nom de Mary. Aujourd’hui, de la vieille forteresse de Merv, la "perle de l'Orient", il ne reste que l'enceinte fortifiée et plusieurs ouvrages d'architecture dispersés sur plusieurs hectares, dont le mausolée du sultan Sandjar, datant du XIIème siècle, et véritable chef-d'œuvre qui prend la forme d'un cube, haut de 38 m, et couronné d'une coupole en plein centre, avec des murs percés de profondes arcades ogivales. Il s’agit du plus grand mausolée d’Asie centrale. Certains disent qu'il a été fondé par le prophète perse Zoroastre ; pour d'autres, c'est ici que Schéhérazade égrena les contes des « Mille et Une Nuits ».

Tôt le matin, nous reprenons la route en direction de l’Iran et entrons dans le Khorasan, région rarement fréquentée par les étrangers occidentaux et peuplée de nomades que nous avons peut-être la chance de croiser Nous visitons à Mashad les zones autorisées aux non-musulmans du vaste complexe du mausolée de l’imam Reza, le lieu le plus sacré des chiites en Iran et lieu de pèlerinage. Visite des mausolées de la reine Gawarshad et de Khwajah Rabi, du 17ème siècle, et visite du mausolée-musée dédié à Nader Shah, chef turkmène rival des Zand de Shiraz qui s'empara du pouvoir au Nord de l'Iran après la chute des Safavides. Découverte de la grande mosquée et, pour finir, nous admirons à Gonbad-e Sabz, le mausolée au Dôme vert.

Transfert à la gare en fin de soirée pour prendre le train de nuit.

Nous nous rafraîchissons à l’hôtel après notre nuit ferroviaire puis nous entamons la visite de la capitale iranienne. Nous visitons le Musée archéologique, ainsi que ceux du verre et de la céramique et du tapis, puis le Palais du Golestan. Balade en fin de journée sur le Tabiiat Bridge qui relie les Parcs Ab-o-Atash et Taleghani et dont le troisième niveau offre une belle vue sur Téhéran.

Dans la matinée, vol vers le sud.

Oasis de verdure dans le désert, Shiraz offre, en son centre, ses monuments principaux.
À l'arrivée dans la ville des poètes, nous visitons le palais Bagh-e Eram, les mausolées des poètes Hafiz, pèlerinage des amoureux, et Saadi, la mosquée Nasr-ul Mulk, connue comme la "mosquée rose", la mosquée lumineuse de Chah Tchéragh et la Mosquée Vakil (dite « du Régent »), la Maison Qavam où se trouve le Jardin de l’Orangerie, la forteresse Karim Khan puis, nous prenons le temps d'une belle balade dans le bazar couvert.

Départ tôt le matin pour la visite de la capitale achéménide Persépolis, érigée par le roi Darius et détruite par les soldats d’Alexandre le Grand. Nous faisons halte à la Porte du Coran et aux jardins suspendus en quittant la ville.

Toute la matinée est consacrée à la visite complète du site de Persépolis avec les sépultures royales. À 3 km de là, à Naqsh-e Rostam, nous découvrons les gigantesques tombeaux royaux creusés dans une falaise ainsi que les bas-reliefs de Naqsh-e-Rajab avant de poursuivre pour visiter Pasargades, la capitale achéménide construite par Cyrus le Grand, qui précéda Persépolis et où se trouve son tombeau.

Tôt le matin, route vers la magnifique cité qui fut capitale de l'empire perse sous le règne des Safavides entre le XVIème et XVIIIème siècle. Découverte de la majestueuse place du Chah, en référence à Chah Abbas, qui vers la fin du XVIIème siècle entreprit d’énormes travaux de réfection de la ville. Désormais appelée place de l’Imam, elle est, avec ses trois bijoux, la mosquée de l’Imam, la mosquée de Cheikh Lotfollah et le palais d’Ali Kapou, une des plus belles places au monde classée au patrimoine mondial de l'UNESCO.

Deux journées consacrées à la visite de cette magnifique cité, ses monuments et ses bazars.

Visite de ces monuments et de la madrasa de la mère du Shah, avant de rejoindre la Nouvelle Joffa - le quartier arménien pour la visite de la cathédrale Vank, son musée et l’église de Bethléem.

Nous visitons le palais des 40 colonnes (Chehel Sotoun) et la vaste mosquée du Vendredi, dont les styles de différentes époques se chevauchent joyeusement, le minaret de la Mosquée d’Ali.
Dans l'après-midi balade dans le bazar, véritable labyrinthe de ruelles voûtées et petite flânerie dans cette ville paisible aux avenues ombragées et à la population accueillante. C’est l’occasion pour réaliser quelques emplettes au bazar le mieux achalandé d’Iran : des boîtes en papier mâché aux tissus imprimés, des plats ciselés à la poterie, des miniatures aux tapis et aux kilims.
En fin d’après-midi, nous nous promenons sur les berges de la rivière Zayandéroud, pour voir le pont Chahrestan ainsi que les trois ponts que le Chah Abbas avait fait construire : le Si-o-se, le Tchoubi et le Khajou, dans les piliers desquels avaient été aménagées des tchaïkhanés, maisons de thé traditionnelles.