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Notre ami Marc vient d’achever une superbe biographie sur le journaliste, écrivain et voyageur d’exception : « Joseph Kessel, La vie jusqu’au bout », à l’écriture de laquelle il a consacré trois années. À découvrir aux éditions Transboréal naturellement !</p>
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<img alt="" src="/sites/default/files/blog/marc-alaux-credit-laurent-barroo_0.jpg" style="width: 333px; height: 500px;" data-entity-type="file" data-entity-uuid="a84f5df8-e65c-46cc-8c51-1cfeec95a9a9"></p>
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Marc Alaux par Laurent Barroo, 2004<br>
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<strong>Une biographie par Marc Alaux</strong></p>
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Avec cette biographie inspirée, accompagnée de miscellanées ludiques, Marc Alaux, éditeur et auteur notamment de La Vertu des steppes, Petite révérence à la vie nomade (Transboréal, 2010), vous invite à rencontrer « l’empereur » au fil de ses tribulations, à découvrir comment celui qui vécut aux quatre vents s’est nourri de ses origines pour conter les hommes avec l’indulgence et l’enthousiasme de la jeunesse.</p>
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<strong>Au sujet de Joseph Kessel</strong></p>
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Journaliste de métier, écrivain par vocation et homme d’action né en 1898 à Clara en Argentine et mort dans le Vexin en 1979, Joseph Kessel fut un voyageur d’exception et demeure un compagnon de route mythique.</p>
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De l’émigré russe bagarreur à l’homme de lettres vedette de l’Académie, de Pigalle à Vladivostok en passant par Shanghai, le Yémen et la Patagonie, du Lion à L’Équipage sans omettre Les Cavaliers, s’affirme un homme assoiffé d’aventure.</p>
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Mais au-delà de la légende, au-delà du résistant courageux, du bourlingueur et du noceur impénitent, se distingue un être touchant épris de liberté et débordant de passion pour les autres. Un homme assidu dans l’exercice de l’amitié et qui dévora la vie jusqu’au bout.</p>
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<strong>Au sujet de Marc Alaux</strong></p>
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Né à Saint-Mandé en 1976, Marc Alaux grandit dans les quartiers populaires du nord-est de Paris et déménage au gré des mutations de son père officier de gendarmerie.</p>
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Accompagner ses parents dans leurs séjours à travers le Bassin méditerranéen fait éclore chez lui, dès l’âge de 7 ans, un intérêt marqué pour le patrimoine et l’histoire, dont la découverte devient, outre un plaisir instructif, la fuite d’une réalité urbaine décourageante.</p>
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Après un baccalauréat littéraire, il s’engage dans des études d’archéologie, et c’est à ce titre qu’il effectue son service militaire dans l’équipe de fouilles du Service historique de l’armée de terre, au château de Vincennes. Mais, ayant décidé d’interrompre sa maîtrise sur les enceintes urbaines de l’Antiquité tardive en Gaule, il occupe divers emplois pour rassembler les fonds nécessaires au voyage à travers la Mongolie qu’il projette depuis deux années.</p>
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D’avril à octobre 2001, en compagnie de son ami d’enfance Laurent Barroo, Marc Alaux parcourt ainsi à pied les principaux écosystèmes du plateau mongol : steppes, Gobi, khangai. Une traversée d’est en ouest qui lui fait découvrir sur 2 300 kilomètres la langue et les mœurs de l’ethnie majoritaire khalkha. De février à avril 2003, en cheminant seul sur le versant occidental du massif du Khentii, de la frontière bouriate à Oulan-Bator, il se familiarise avec l’imprévisible printemps mongol. D’avril à octobre 2004, à nouveau en compagnie de Laurent Barroo, il arpente sur 2 300 kilomètres les confins montagneux du nord-ouest du pays. Cette nouvelle marche de six mois les instruit sur la mosaïque ethnique complexe de l’Altaï, du Khan-Khöökhi et des Sayan.</p>
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En 2006, avec son épouse Stéphanie, Marc Alaux s’accorde trois mois pour progresser à pied sur les pentes orientales du Khentii, d’Oulan-Bator jusqu’à la région natale de Gengis Khan. À l’été 2009, il renoue avec les marges mongoles, toujours par la marche, durant deux mois dans l’Altaï en compagnie de Laurent Barroo puis seul dans le Dornod. Il profite du cœur de l’hiver 2012-2013 pour suivre durant trois mois des cours de langue mongole à Oulan-Bator.</p>
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Entre chacun de ses séjours au pays du Ciel bleu, Marc Alaux, salarié de Transboréal, consacre tout son temps libre, depuis ses quartiers montrougiens, à l’étude des steppes d’Asie centrale et de Haute-Asie. Il donne régulièrement des conférences, participe à l’organisation d’événements culturels en rapport avec la Mongolie et publie des articles sur l’économie, l’histoire et la culture mongoles (La Revue, Bouddhisme actualités, Les grands mystères de l’archéologie, Chine plus, La vie du rail, etc.).<br>
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