Conférences 2014 : venez découvrir le monde à travers le regard de grands voyageurs

28 août 2013 - Actualités

<a href="http://www.tamera.fr/fr/soirees-conferences/retrouvez-nos-soirees-confe…; target="_blank">RETROUVEZ NOS CONFÉRENCES PRÉCÉDENTES EN CLIQUANT ICI</a>

 
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Programme des conférences 2013 / 2014 : </h1>

17 septembre 2013 : l'Ethiopie de Sylvain Chermette

15 octobre 2013 : la Birmanie de Jérôme kotry

12 novembre 2013 : le Sahara de Michel Pierre

03 décembre 2013 : la Mongolie de marc Alaux

14 janvier 2014 : l'Indonésie de Olivier Lelièvre

11 février 2014 : le Tibet et l'Asie Centrale de Bruno Paulet

18 mars 2014 : le Pérou de Sébastien Jallade

08 avril 2014 : le Grand Nord de christophe Marie

13 mai 2014 : le Vietnam de Christian Vérot

 

Nous y retrouver

Nous vous accueillons à partir de 20h30 au Centre St Marc 
Entrée libre 
 
10, rue Sainte Hélène 
69002 Lyon 
Métro et parking Bellecour

 
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Le 17/09/13 : L'Ethiopie (Erta Alé et dépression de Danakil) de Sylvain Chermette</h1>

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Passionné depuis son plus jeune âge de géologie, Sylvain arpente les terres de feu et nous emmène partager ses aventures de la Sicile à l'Islande en passant par l'Indonésie. L'Ethiopie est l'un de ses pays fétiches, notamment au Nord avec la depression du Danakil et le volcan Erta Alé. Situé en terres Afar, ce volcan attire de nombreux vulcanolgue. lac de lave en fusion au milieu de rien, cet étrange volcan a cependant subi des refroidissements pour former une croute stoppant ainsi tout spectacle. Aujourd'hui de nouveau en activité, Sylvain nous plonge dans ce voyage au plus profond de la terre pour nous faire découvrir ces phénomènes avec beaucoup de simplicité et d'humilité.

 
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Le 15/10/13 : La Birmanie de Jérôme Kotry</h1>

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Dès 1993, Jérôme a franchi la porte de la Birmanie pour un long séjour et y est retourné à de nombreuses reprises. Il a pris conscience que la population était ouverte aux rares étrangers et que ce pays recelait de nombreux intérêts, parfois difficile d'accès. Il s'exprime suffisamment bien en birman pour sillonner le pays seul.

Sa curiosité et son acharnement eurent raison des obstacles et il sut pénétrer maints aspects de la Birmanie profonde. Jérôme est tombé sous le charme de ce pays, de sa culture, séduit par le bonheur de ses habitants, gais, attachant, pleins d'humour et très cultivés bien qu'ils vivent sous la cape d'un régime autoritaire. Par delà les clichés, Jérôme nous transporte à la rencontre des peuples et nous dévoile les mille et un aspects de cette "terre d'or" qui a su et sait encore le retenir.
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Le 12/11/13 :Le Sahara de  Michel Pierre</h1>

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Agrégé d’histoire, Michel est en grand connaisseur du Sahara qu’il a largement parcouru. Il a exercé de nombreuses fonctions aux Affaires étrangères, en particulier à l’ambassade de France à Alger et il est maître de conférences à Sciences Po. Entre géographie et histoire, voyage et imaginaire, photos et images, Michel nous emmène dans une fabuleuse odyssée saharienne.

 
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Le 03/12/13 : La Mongolie de Marc Alaux</h1>

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Né à Saint-Mandé en 1976, Marc Alaux grandit dans les quartiers populaires du nord-est de Paris et déménage au gré des mutations de son père officier de gendarmerie. Accompagner ses parents dans leurs séjours à travers le Bassin méditerranéen fait éclore chez lui, dès l’âge de 7 ans, un intérêt marqué pour le patrimoine et l’histoire, dont la découverte devient, outre un plaisir instructif, la fuite d’une réalité urbaine décourageante. À partir de 16 ans, il met à profit ses vacances pour s’initier au monde du travail et participer à l’étude du passé sur une quinzaine de chantiers de fouilles. Il emploie en effet ses étés à mettre au jour, dessiner puis photographier des vestiges, accomplir des relevés topographiques, assister des géologues et des géomètres. Durant l’année scolaire, ses soirées et week-ends sont quant à eux consacrés à l’apprentissage du nin-jutsu, art martial japonais auquel il s’initie durant sept ans et dans lequel il obtient une ceinture noire. Après un baccalauréat littéraire, il s’engage dans des études d’archéologie, et c’est à ce titre qu’il effectue son service militaire dans l’équipe de fouilles du Service historique de l’armée de terre, au château de Vincennes. Mais, ayant décidé d’interrompre sa maîtrise sur les enceintes urbaines de l’Antiquité tardive en Gaule, il occupe divers emplois pour rassembler les fonds nécessaires au voyage à travers la Mongolie qu’il projette depuis deux années.

D’avril à octobre 2001, en compagnie de son ami d’enfance Laurent Barroo, Marc Alaux parcourt ainsi à pied les principaux écosystèmes du plateau mongol : steppes, Gobi, khangai. Une traversée d’est en ouest qui lui fait découvrir sur 2 300 kilomètres la langue et les m&oelig;urs de l’ethnie majoritaire khalkha. De février à avril 2003, en cheminant seul sur le versant occidental du massif du Khentii, de la frontière bouriate à Oulan-Bator, il se familiarise avec l’imprévisible printemps mongol. D’avril à octobre 2004, à nouveau en compagnie de Laurent Barroo, il arpente sur 2 300 kilomètres les confins montagneux du nord-ouest du pays. Cette nouvelle marche de six mois les instruit sur la mosaïque ethnique complexe de l’Altaï, du Khan-Khöökhi et des Sayan

En 2006, avec son épouse Stéphanie, Marc Alaux s’accorde trois mois pour progresser à pied sur les pentes orientales du Khentii, d’Oulan-Bator jusqu’à la région natale de Gengis Khan. À l’été 2009, il renoue avec les marges mongoles, toujours par la marche, durant deux mois dans l’Altaï en compagnie de Laurent Barroo puis seul dans le Dornod. Il profite du c&oelig;ur de l’hiver 2012-2013 pour suivre durant trois mois des cours de langue mongole à Oulan-Bator.

Entre chacun de ses séjours au pays du Ciel bleu, Marc Alaux, salarié de Transboréal, consacre tout son temps libre, depuis ses quartiers montrougiens, à l’étude des steppes d’Asie centrale et de Haute-Asie. Il donne régulièrement des conférences, participe à l’organisation d’événements culturels en rapport avec la Mongolie et publie des articles sur l’économie, l’histoire et la culture mongoles (La Revue, Bouddhisme actualités, Les grands mystères de l’archéologie, Chine plus, La vie du rail, etc.).

 
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Le 14/01/14 : L'indonésie de  Olivier Lelièvre</h1>

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Né à Amiens en 1958, Olivier Lelièvre a suivi des études de paysagiste. Parti en 1982 pour la partie malaisienne de Bornéo, il vit un an au sein de la tribu des Kenyah dont il suit le rituel d’adoption. À cette occasion, il côtoie les Punan, derniers nomades de l’île. C’est durant ce séjour qu’il poursuit sa découverte de l’Indonésie, qu’il n’a eu de cesse de parcourir depuis. Afin de financer ses nombreux déplacements vers les îles de ce vaste archipel, il devient guide accompagnateur et conçoit plusieurs voyages vers des régions méconnues. Olivier Lelièvre a ainsi séjourné auprès des Toraja de Sulawesi et des Mentawai de Siberut (connus sous l’appellation d’« hommes fleurs »). Il a collaboré à de nombreux magazines, tant en France qu’en Italie, en Belgique, en Suisse, en Allemagne, aux États-Unis et à Singapour, notamment dans : Animan, Le Monde, La Croix, Science & Nature, VSD, Sudestasie, Tam-Tam, L’Étudiant, Révolution, Les Nouveaux Aventuriers, Cheval-Magazine, Atlas, Acta-Geographica, Marie-Claire, Jonathan, Il Venerdi di Repubblica… 
Olivier Lelièvre a par ailleurs travaillé, en tant que réalisateur, consultant ou coréalisateur, à de nombreux documentaires ayant trait à l’Indonésie. Fidèle à sa passion pour ce pays, il a épousé une Italienne de la région des Pouilles, à Bornéo, selon le rituel des anciens chasseurs de têtes kenyah ! Diplômé de l’école André Nahum, membre de la Fédération française de shiatsu, Olivier Lelièvre est aussi praticien de shiatsu depuis 2004. Il continue à approfondir l’étude de cette technique orientale de santé avec le maître japonais Ohashi.

 
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Le 11/02/14 : Le Tibet et l'Asie Centrale de Bruno Paulet</h1>

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Asie, haute montagne et histoire de l'exploration sont des passions que Bruno Paulet a cherché à satisfaire au cours de nombreux voyages. Ingénieur de formation, puis entrepreneur, il a vécu dans la Silicon Valley et à Taïwan où il a appris le chinois. Ses pérégrinations asiatiques l'ont conduit dans les montagnes de l'Himalaya, du Karakorum, du Pamir, des Tian Shan, de l'Altaï, des Kunlun… 
Il a eu le privilège de parcourir des itinéraires originaux au XinJiang, au Tibet ou dans le Pamir.  Il est l'auteur de "Mémoires de Sables, en Haute Asie sur la Piste oubliée d'Ella Maillart et Peter Fleming" (Editions Olizane 2006, prix Pierre Loti du récit de voyage). 
 

 
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Le 18/03/14 : Le Pérou de Sebastien Jallade :</h1>

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Historien de formation, Sébastien Jallade est écrivain et documentariste. En 2007, il s’engage une première fois sur le Qhapaq Ñan. Pendant six mois, il parcourt 1 200 kilomètres sur la grande route inca et réalise plus de trente heures d’enregistrements sonores et de témoignages au c&oelig;ur des Andes : prêtres, mineurs, paysans, couturières, peintres… De cette expérience naît un film, 'Qhapaq Ñan, la voix des Andes', dont il est le coauteur avec Stéphane Pachot.

Entre 2008 et 2010, il poursuit son exploration des chemins précolombiens. Seul, il effectue à pied une traversée ouest-est des Andes, reliant le Pacifique aux contreforts de l’Amazonie, jusqu’à la forteresse de Kuelap et Chachapoyas. Il poursuit ensuite sa marche de Cajamarca à Paria (Bolivie) via Cusco, le lac Titicaca et La Paz, dans un axe nord-sud. À cette occasion, il réalise un inventaire géophotographique de 3000 kilomètres de routes incas au Pérou et en Bolivie, en partenariat avec un département de recherche de l’université Paris VIII. Au printemps 2009, il publie son premier essai, 'L’Appel de la route, Petite mystique du voyageur en partance', qui condense quatre années de réflexions sur le sens du départ dans les sociétés modernes. Un an plus tard, parait son premier récit, 'Espíritu Pampa, Sur les chemins des Andes', tiré de ses quatre années de marche dans la cordillère : il y dépeint des rencontres et des lieux où les croyances se mêlent, où les époques se croisent ou s’ignorent, et qui dessinent une réalité originale des Andes, celle de régions écartelées par la géographie et l’histoire. Il réalise actuellement un documentaire sur les victimes du conflit entre le Sentier Lumineux et l'armée péruvienne, dans les années 80.

Stéphane Pachot et Sébastien Jallade ont filmé les chemins préhispaniques qui irriguent la Cordillère des Andesau travers des témoignages de leurs habitants. Une aventure intime et poétique où l’on rencontre un mineur éprisde la dureté de son travail, une paysanne plongée dans la solitude, des peintres durement touchés par la guérilla du Sentier lumineux ou encore des enfants apprenant du théâtre contemporain dans un village isolé. Les images poétiques et une bande son émouvante constituée au fil des six mois de pérégrinations le long du Qhapaq Ñan, la grande route inca, font de ce film un véritable voyage cinématographique. Il a reçu le label d’Unifrance, l’organisme français de promotion du documentaire français à l’étranger.

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Mais aussi auteur... 
Après trois années de voyage sur les chemins préhispaniques au Pérou, en Bolivie et en Équateur, Sébastien Jallade vit désormais à Lima. Dans le récit tiré de cette expérience, Espíritu Pampa, Sur les chemins des Andes (Transboréal, 2012), il propose un témoignage centré sur sept lieux symboliques de la Cordillère.

Chacun de ces lieux correspond à des épisodes marquant de son cheminement le long du Qhapaq Ñan andin, qu’il a parcouru à pied, autant qu’à des facettes originales de la réalité sociale de ces pays : une église rurale des premiers siècles du christianisme andin, nichée à plus de 4 000 mètres d’altitude, symbole de la conquête implacable des imaginaires à l’époque coloniale autant que de la délicate question de l’identité collective dans le Pérou d’aujourd’hui; la plaza de armas de Huamachuco, plongée dans un interminable blocus paysan ; le musée de la mémoire d’Ayacucho, fondé par les familles des victimes et disparus du conflit ayant opposé les forces armées à la guérilla du Sentier lumineux, et pour qui les chemins incas furent un instrument de conquête ; la cité perdue de Huánuco Pampa, située sur un plateau isolé non loin de la cordillère de Huayhuash ; les marchés aux alasitas de Puno, foyer de la résurgence de la culture populaire du sud du Pérou et de la Bolivie ; une radio communautaire de la région du fleuve Urubamba, non loin de Cusco, engagée en faveur des pauvres et des paysans isolés, soutenue par des missionnaires proches de la théologie de la libération ; enfin la ville de Lima, sur les rives du Pacifique, qui aujourd’hui plus qu’à toute autre époque de son histoire est devenue un centre névralgique incontournable lorsque l’on s’attache à comprendre la cordillère des Andes.

 
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Le 08/04/14 : Le Yukon de Christophe Marie</h1>

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Christophe Marie, passionné depuis toujours par le grand Nord Canadien vient de terminer sa formation de guide d'aventure en Gaspésie (Québec). Après un bref retour en France auprès des siens, il revient au Canada et décide de s'installer à Whitehorse (Yukon). 

Les expéditions proposées par Christophe en colobaration avec TAMERA sont uniques et à l’opposé de celles des grands tours opérateurs : expéditions sur mesure, en petits groupes, dans un esprit convivial et familial, expéditions à thème sur les traces des grands explorateurs (Jack London, Jeremiah Johnson, Lewis & Clark), circuits en milieu sauvage très peu représentés en France (totale autonomie, encadrement par des guides francophones et anglophones diplômés en Amérique du Nord et en Europe).

 
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Le 13/05/14 : Le Vietnam de Christian Vérot</h1>

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Christian Vérot est reporter, auteur-conférencier, photographe et cinéaste… mais c'est avant tout  un voyageur amoureux du Vietnam.

Depuis 20 ans il arpente le pays du Nord au Sud, il sillonne le moindre sentier d'Est en Ouest et capture l'instant.

Il a rencontré mille visages et écouté autant d'expériences de vie. Il a vu le pays changer à un rythme effréné tout en sauvegardant certaines valeurs inaltérables.

A travers ses publications et ses conférences, il partage tous les témoignages récoltés au fil des années, il rend tangibles et accessibles ses expériences vécues, il cherche à vous faire comprendre le Vietnam d'aujourd'hui en mettant en lumière aussi bien son histoire et sa philosophie que ses paradoxes.

 

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